LA
SAGA DE L'ÉVEIL
Transition - Tome 5
par
Laurent Boisclair

LA
SAGA DE L'ÉVEIL
Transition - Tome 5
Roman
Fantastic
Laurent Boisclair
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2015, 554 pages
ISBN
978-2-89612-423-7
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
Exemplaire papier : non disponible : non disponible
Exemplaire numérique
: 7.00$
PRÉSENTATION
LA SAGA DE L'ÉVEIL
Dans un monde soumis
par le destin et déchiré
par les conflits
les sauveurs peuvent être
des destructeurs
La
Trève Vigilante
La guerre entre
le Royaume d’Estalie et le Saint Empire de Neathar connaît une accalmie,
chacun des opposants reprenant des forces et pansant ses plaies quand
les combats reprendront de plus belle.
Né d’une famille noble, Mathieu de Maluin est un scribe sans avenir,
jusqu’au jour où il a la possibilité de se bâtir une meilleure vie;
devenir un membre de la cour royale du roi Gavin Estal. Une offre qu’il
ne peut pas refuser.
Ainsi commence un épisode tumultueux dans la vie du moine qui parcourra
d’une extrémité à l’autre le Vieux Monde, faisant la rencontre de
peuples différents avec leurs propres coutumes et croyances. Sans le
vouloir, il se devra aussi d’accompagner dans leurs aventures des hommes
et survivre aux dangers qui sont tapis aux quatre coins d’Aeria. Grands
ou petits sur cette terre, ces mêmes hommes auront marqué à leur façon
l’époque dans laquelle ils vivaient et Mathieu plus qu’il ne l’aurait
souhaité.
EXTRAIT
PROLOGUE
(Tiré des Mémoires de Mathieu de Maluin)
Estalie
La lumière dorée de ce matin scintillait
par-dessus les créneaux et les toitures qui dépassaient de la
hauteur des puissantes murailles protégeant la cité. J’avais
l’impression que La Lumière voulait souligner devant mes yeux
l’aveuglement des neathariens à vouloir impérativement détruire
cette cité et à mâter tout son peuple comme à l’époque de
l’occupation impériale.
En fait, c’était un avertissement bien avant que la colère divine ne
finisse par prendre une forme matérielle pour s’abattre sur ces
prétendus unificateurs du monde, en juste châtiment pour leur
orgueil exorbitant.
Hélas, lors de cette première fois, quand je posai mes yeux sur la
capitale du royaume estalien, ce n’était pas ainsi que je la perçus
fugacement dans mes pensées. Du moins, malgré le fait que j’étais un
loyal serviteur de l’Église de la Lumière, et par conséquent un
supporteur du Saint Empire de Neathar, le bras armé de ma religion,
je fus légèrement ému à regarder cette cité à partir de la proue du
navire qui m’y amenait après un long voyage.
Je me souviens encore du navire marchand pénétrant dans l’embouchure
du port. Plus bas, dans un canot, des marins y avaient installé mes
maigres bagages avant de me faire franchir la dernière étape pour
que je puisse poser mes pieds sur la souillure du sol dallé de la
capitale estalienne.
Ne le prenez pas mal, mes chers lecteurs, car il faut comprendre
qu’à l’époque, je croyais indubitablement que le Saint Empire de
Neathar était béni par notre Église, et à travers ces représentants
de ma religion par la Lumière même. Je ne doutais pas une seconde du
bien-fondé de la cause impériale à extirper la dissension dans le
cœur des Hommes et ainsi mettre fin à des siècles de guerres
inutiles.
Moi, Mathieu de Maluin, un roturier venu des lointaines terres
massiniennes, habillé avec mon pauvre froc de moine et pourvu d’un
doctorat en Histoires des Temps Anciens (car j’avais fréquenté
l’université de Gilbanor), je me prenais à l’époque pour un grand
missionnaire en arrivant sur la terre de ces habitants que je
jugeais déjà incultes et arriérés.
Tremblez, vipères rebelles ! Car vous serez tous illuminées par
l’éclat du savoir que je possède ! Le prophète que je suis vous
montrera de nouveau le chemin du salut éternel !
Aujourd’hui, après tant d’années passées, alors que je n’avais que
vingt années sur mes épaules à cette époque, je ne peux que sourire
à propos du pauvre moine ignorant que j’étais.
Jeune sot ! J’étais sur le point d’entrer dans un monde dont je
n’avais jamais imaginé l’étendue. J’allais parcourir un royaume
rempli de personnages illustres, mystérieux, nobles, cruels et
parfois perfides. J’étais perché sur un précipice où j’allais tomber
dans une vie remplie d’aventures, de misères, de menaces et de
catastrophes. Elle contenait la promesse d’une vie agitée, d’une
lutte bouleversée par les passions, les envies, les intrigues et les
haines.
Une vie dans laquelle je n’allais être qu’un chroniqueur, un simple
témoin, qu’on envoyait ici et là selon l’humeur de mes mécènes du
moment. Croyez-moi, j’étais bien incapable sur cette embarcation de
pressentir ce qui m’attendrait à ce jour, mais je me souviens bien
de l’esprit qui m’habitait quand j’ai posé le pied dans la cité des
Estaliens au petit matin.
Mais voilà que je m’égare dans mon récit. Cela m’arrive souvent.
J’étais venu au monde loin de là, en un lieu assurément bien
différent qu’en Estalie. La famille des barons de Balduir, heureuse
que son héritier agrandisse les possessions familiales dans leur
contrée, décida que le benjamin d’une famille paysanne, un garçon
doué d’intelligence plus que prometteuse, irait étudier en
intendance afin de servir le prochain seigneur de leurs terres.
C’est sur ma famille que le hasard tomba et l’assentiment du
paternel ne se fit pas attendre.
Malheureusement pour moi, je n’étais que le cadet de cette fortunée
famille. Cet honneur fut attribué à mon deuxième frère. Quant à moi,
lié par les chaînes de l’obligation familiale à me subvenir, je fus
conduit par mon père au monastère du clergé le plus proche.
C’était à quelques lieux de Maluin, et mon paternel ne prenait pas
en compte de la dangereuse proximité du monastère à cette cité, une
demeure connue pour les pirates maures y faisant escale ainsi que le
point de départ de plusieurs pillages numiens dans notre pays. Si ma
mère en versa des larmes, c’était bien parce qu’elle craignait que
son jeune fils ne la déçoive dans ses ambitions; compter un prêtre
célèbre dans sa progéniture. Je crois même que mes parents auraient
préféré avoir parmi les leurs un missionnaire recevant son martyr
par les couteaux des infidèles !
Au cours des années qui suivirent, je parvins à supporter ce
noviciat sans trop de dommages pour mon corps. À peine devenu un
scribe dans le clergé de la Sainte Lumière, je n’eus point de mal à
convaincre mon supérieur de me trouver une place à l’université de
Gilbanor, la merveille de Massina. Mon père, rempli d’orgueil à
cette nouvelle, fit engager mon frère ainé dans une guerre sous les
drapeaux de notre jeune seigneur afin de payer mes coûteux frais
d’étude avec les fruits du pillage.
Pendant que mon père étalait ainsi la piété familiale en envoyant un
de ses fils combattre un émir voisin, ma mère nourrit en son cœur
l’égoïste espoir d’assister un jour à une sorte de canonisation de
son dernier enfant. Elle accepta alors de desserrer la bourse
familiale pour mes études.
Je comptais à peine seize années quand on m’expédia à Gilbanor.
Douce Lumière, quelle ville immense, et comme la vie y était chère !
Vivre de l’aumône était une idée humiliante à mes yeux, mais
l’argent familiale fondit aussi vite que la neige au soleil. Par
conséquent, j’appris à supporter la compagnie de ceux qui
entretenaient ma maigre carcasse. À l’époque, je préférais croire
qu’il s’agissait tout simplement d’un échange de faveurs entre des
partenaires consentants.
Dans une certaine mesure, je pus me soustraire à l’étude théologique
en prenant comme matière la langue numienne. Ainsi, je me préparais
au cas regrettable où un de mes supérieurs aurait un jour l’idée de
m’envoyer dans les déserts de Massina ou de Numidie.
Il fallait comprendre que ma mère ne s’abandonnerait jamais à la
fatigue pour la réussite de son ambition. Et je pensais qu’il me
fallait au moins savoir comment supplier les infidèles à me donner
une gourde d’eau, à défaut de pouvoir les convaincre de m’accorder
la vie sauve, sinon d’embrasser notre chère foi.
Ma vie prédestinée par ma famille aurait été bien brève, mais il se
trouva alors qu’au cours de mes dix-neuf printemps, Massina connut
de grands bouleversements.
De nos jours, lorsque les gens de ma patrie pensent au roi estalien,
ils ne voient plus qu’un empereur des hommes, ses terres et son
palais. Ou bien ils se représentent un glorieux chef de guerre aux
innombrables victoires. Les générations futures percevront, sans
doute pour l’éternité, Sa Majesté Gavin Estal comme le roi
invincible qui tint tout l’Occident dans sa main ferme et assurée
pour nous protéger de la folie destructrice des impérialistes.
Par la Sainte Lumière, j’affirme déjà que mes contemporains le
considèrent tous comme un être divin, surgi parmi nous de la
poussière. À mon vieil âge, presque plus personne en Occident
n’évoque le fait qu’il est bien venu au monde, et qu’il a eu une
enfance dans sa vie. C’est à peine s’ils le voient comme un homme,
et les ménestrels n’évoquent pas davantage la période datant avant
son règne.
À l’époque de mes dix-neuf ans, ce roi venait de terminer une des
nombreuses guerres qu’il avait menées contre le Saint Empire de
Neathar. Le roi Gavin avait vaincu l’Archiduc de Tyrios en combat
singulier, unissant pour de bon tous les gens ayant une descendance
estalienne à la bannière du dragon blanc sous un couvert vert de la
dynastie des Estals.
Au cours de cet hiver passé à Massina, il se mit en quête d’un
éducateur pour lui enseigner les bases de la langue mauresque.
Malgré mes doutes initiaux à servir un renégat doublé d’un païen,
j’ai voulu croire alors que ce roi étranger désirait vraiment
pouvoir être en bonne relation avec ses voisins. Les rumeurs qu’il
appuyait un émir modéré afin de régner sur Gilbanor, ainsi qu’en
faire un sultan de toutes les terres de Massina, se répandaient
comme une traînée de poudre.
Dans ma situation d’homme du clergé avec du pragmatisme pour
m’assurer une existence douce, à l’abri des ambitions familiales, ce
fut un rôle qui me convenait à merveille. Sur le plan politique, je
ne voyais pas si loin et je ne désirais pas assumer une charge en
dehors de mon rôle d’enseignant. Ma seule hésitation à me proposer
pour cette charge fut qu’on n’osait pas faire venir à la cour
estalienne le vénérable maître auprès de qui j’avais appris mon
dialecte linguistique. Je ne doute pas que des agents du roi
l’approchèrent, mais sûrement l’âge avancé de mon professeur
l’empêchait de quitter son lieu de repos pour parcourir les routes.
Bref, dans la foule de prétendants, on m’avait choisi avec la
conviction que je possédais un amour particulier pour les langues,
mais il n’en était rien dans les faits.
À la cour du roi estalien, il me fut possible d’établir un horaire
régulier pour les classes et le souverain (de quelques années mon
aîné) m’accorda régulièrement une audience pour lui conter des
histoires originaires de mon pays natal.
Je passai sous silence la vérité, qui était que je n’étais qu’un
simple bachelier des langues et un scribe ordinaire avant cela. Par
contre, j’avais la chance de venir d’une famille au service des
barons de Balduir et j’ai pu satisfaire la curiosité du roi à mon
sujet en racontant la longue histoire de mon auguste famille, les
défenseurs de notre chère foi contre la marée d’infidèles qui nous
entouraient.
Le roi accorda du respect pour ma famille à défendre nos terres,
mais il n’octroya aucune louange pour la ferveur de mes parents et
de mes ancêtres. Pour ma part, j’admets avec le temps que c’était en
fait un sentiment mutuel et nous étions tous deux forts heureux de
cette situation.
Ce seigneur et très bienveillant souverain dut avoir une vision de
l’avenir, ou bien ce furent ses conseillers qui le harcelèrent
semaine après semaine, car il se décida un jour à enfin briser une
épine récemment plantée dans le flanc méridional de son royaume, qui
était encore une fois tourmenté et torturé par les envahisseurs du
Nord et de l’Orient.
J’ignore chez quel courtisan j’ai pu faire germer de la contrariété
ou de l’envie, mais quelqu’un poussa le roi à insister pour que, par
un jour funeste, je m’éveille béni d’une grande bonté royale : pour
honorer ma famille, on m’accorda le privilège de m’associer à une
entreprise contre des barbares avec la charge de chapelain militaire
pour un seigneur de province qui, selon les rumeurs, ne désirait
nullement s’encombrer d’un aumônier.
À la cour du roi, on fit diligence pour qu’on me remette sans tarder
ma lettre de nomination, afin que je me mette en route sans plus
tarder. Prévoyant un séjour monotone en rase campagne, j’emportai
avec moi quelques livres, espérant que personne ne regretterait trop
leur absence dans la bibliothèque royale. Ces manuscrits
m’aideraient à combattre la probable routine d’un campement
militaire en province. Avec mes maigres possessions, j’entrepris
sans enthousiasme le voyage qui devait me mener dans les sauvages
Hautes-Terres.
Me retrouvant plongé dans le tourbillon du conflit estalo-neatharien,
j’allais sous peu me retrouver prisonnier dans les fils des
Tisseuses du Destin. Elles allaient m’entraîner avec une force vive
pour me jeter dans un monde dont je n’avais jamais imaginé
l’existence. J’étais devenu de nouveau un pion insignifiant, mais
cette fois sur le gigantesque échiquier des grands de ce monde.
Au début, je confesse avoir servi Sa Majesté Gavin Estal avec une
fidélité sans partage. Il était un bon roi; si j’avais failli à son
endroit, j’en aurais conçu toute la honte dont j’aurais été encore
capable. Mais à mesure qu’il s’éloigna de mes yeux, s’éteignit aussi
en moi la candeur du chroniqueur massinien. Il ne fut pas long pour
que des forces nettement supérieures me jettent hors du damier
primitif des rois de ce monde et me poussent jusqu’aux confins de
l’univers.
Sachez-le. Tout au long de ma vie, j’ai vu et connu la vaillance des
Nordiques, ainsi que la fidélité sans réserve des nains liés à un
serment. J’ai trouvé des amis parmi les elfes sylvains et j’ai pu
contempler la terrifiante efficacité des insulaires Balgradains.
J’ai souffert des effets du poison, de la trahison et de la torture
mortelle tandis que j’ai su ce que sont amour et sacrifice.
Néanmoins, aucun destin que j’ai croisé ne m’a davantage ému que
celui de trois simples paysans, ceux que j’appelle les « Trois
Grands Hommes » et les « Patriotes d’Estalie ».
Après la rencontre distincte avec chacun d’eux, je me suis tenu à
être fidèle à leurs mémoires, car j’ai fini par les voir comme des
membres de ma famille. Ils étaient des personnages de légende,
porteurs d’espérance contre des puissances impitoyables, et j’eus
l’honneur distinct de pouvoir marcher parmi ces géants. La fin ne
serait-ce que l’un d’eux aurait anéanti un rêve commun de paix et de
bonheur pour le monde entier.
Quant à moi, je vous rappelle que je n’étais qu’un pion sans
importance, à qui l’on a permis de survivre. Eux, ils étaient
sacrifiables depuis le début de la partie.
C’est de ces trois hommes dont je veux vous parler.
Mathieu de Maluin
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