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COUVERTURES
La
Barjot - Tome 2 - La malédiction, roman,
Claude Lemay, Fondation littéraire
Fleur de Lys |
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PRÉSENTATION
La
Barjot - Tome 2 - La malédiction, roman,
Claude Lemay, Fondation littéraire
Fleur de Lys
On sait déjà que les traits
héréditaires sont indéniables. Les enfants Barjaulet
doivent déjà faire avec et ne pourront jamais le
nier, ni l’oublier. Ils sont déjà condamnés à tenter
de s’en affranchir.
Alors que l’on parle de folklore et d’histoires
nébuleuses pour cerner leur cheminement, le thème de
la malédiction s’insinue aussi dans l’imaginaire
populaire quand on parle des Barjaulet. Qu’en est-il
vraiment ? Nul ne le sait. Il est par contre facile
de parler de mauvais sorts dans le cas des enfants
Barjaulet. Peut-on vraiment s’attirer les affres du
destin ? On préfère ne pas y répondre, évitant
d’aborder ouvertement le sujet.
Quoi qu’il en soit, quelle vie les Barjaulet
survivants pourront-ils avoir ? Quel avenir peut
espérer Colombe ? Qu'en est-il vraiment des démêlés
judiciaires de Béatrice ? Peut-on se faire une vie
après une enfance aussi perturbée ? Quelles sont les
séquelles d’un héritage aussi taré ? Peut-on espérer
conjurer la malédiction des Barjaulet ?
À vous de le lire….
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EXTRAIT
La
Barjot - Tome 2 - La malédiction, roman,
Claude Lemay, Fondation littéraire
Fleur de Lys
CHAPITRE 1 - ÉMOI (Intégral)
Tout
Saint-Rédempteur a entendu le coup de feu tel un coup de tonnerre qui a
retenti alors qu’il n’y avait pas d’orage. Une seule détonation; un bruit
mat, sec, dans un temps qui s’est arrêté comme si l’univers entier s’était
figé. Tout le monde en a été sidéré. Personne n’est dupe. Il s’agit bien
d’une détonation. Un coup de feu venant de la ferme des Barjaulet ne pouvait
qu’être mauvais présage. Un autre drame venait de se jouer. Mais qu’en
est-il donc ? Que s’est-il passé encore ?
Il a quand même fallu un certain temps avant que les policiers se rendent
sur place; personne ne s’étant empressé de sonner l’alarme. Nul n’aime être
le messager en noir. Il fut un temps où la plupart des gens d’ici se
seraient précipités aux nouvelles pour donner vie à de nouvelles rumeurs.
L’occasion aurait été trop belle pour relancer par le fait même toutes
celles que l’on entretenait déjà à l’égard de cette famille, maintenant
établie ici depuis près de deux décennies. Ils font indéniablement partie de
la place maintenant. Le malaise vient sûrement du fait qu’on ne peut plus
s’en dissocier dorénavant. Chaque nouveau drame qui frappe Saint-Rédempteur
est un peu celui de tous ses habitants. Eux aussi en sont venus à partager
le dépit de cette famille. Famille atypique certes, mais famille d’ici.
Depuis leur arrivée, une malicieuse malédiction semble assombrir le ciel de
ce petit bled de Lanaudière. On a eu beau faire longtemps les gorges chaudes
de tout ce qui concernait les Barjaulet, mais on en est tous venus à en être
concernés. Personne ne peut rester indifférent à la misère humaine; surtout
quand celle-ci rime avec malheur.
Deux policiers se sont présentés à la ferme des Barjaulet. Ils y ont trouvé
une maison vide. Personne ne répondit à leurs appels; comme s’il n’y avait
plus âme, qui y vit. On aurait dit une scène de western lugubre alors que le
vent soulève le sable sur un village fantôme. Pas de trace de vie évidente;
que les plaintes des vieux bâtiments qui craquent sous les vents
annonciateurs de l’orage. C’est d’ailleurs un grincement de porte qui a
attiré les enquêteurs au séchoir à tabac. L’une des grandes portes claque au
vent dans une lugubre lamentation, telle une plainte moribonde. Le vent n’a
pas encore tout effacé les traces du fauteuil roulant dans le sable. Les
policiers s’approchent en se regardant. Ils sentent bien l’imminence; celle
de découvrir quel drame s’est joué ici. L’air est lourd et suffocant dans le
séchoir. Une odeur moite se mêle à celle de la poudre qui flotte dans l’air.
La scène est plus pathétique que macabre. Joseph Barjaulet est assis à même
le sol et pleure comme un veau. Tout près, en face de lui, son père Adrien
git au sol, le visage défiguré par une décharge d’arme à feu. La carabine
est toujours là, entre les deux hommes.
Les gens du village verront bientôt une ambulance prendre la direction du
dixième rang. Ils restent dans l’expectative de savoir réellement de quoi il
en retourne. Ils savent déjà qu’un drame s’y est joué et que c’est grave.
Les ambulanciers feront le même constat que les policiers. Adrien Barjaulet
est mort. Un médecin légiste s’évertuera à en déterminer les circonstances
exactes. La cause de la mort est néanmoins évidente. La décharge de l’arme à
feu lui a été fatale. Pendant que les expertises médico-légales se déploient
sur les lieux du drame, Joseph est amené au poste de police pour y être
interrogé. Les policiers tenteront de comprendre ce qui s’est passé dans le
séchoir à tabac. Meurtre délibéré ? Suicide ? Suicide assisté ? Il reste à
tirer tout cela au clair.
Joseph sera longuement interrogé par les enquêteurs qui cherchent à définir
les circonstances du drame. On envisage toutes les possibilités. On ne veut
en négliger aucune. On cherche à déterminer si le jeune homme aurait agi
dans un accès de rage ou de folie. On envisage aussi la thèse du suicide.
Mais dans ce cas, on penche aussitôt vers l’option d’un suicide assisté. Les
empreintes préliminaires au sol démontrent déjà sans équivoque qu’on a
poussé le fauteuil roulant jusqu’au bâtiment de ferme. Joseph ne nie aucune
hypothèse énoncée. En fait, il ne nie rien puisqu’il ne dit mot. Le garçon
s’obstine à rester muet aux questions dont le pressent les enquêteurs. Il
reste impassible à l’interrogatoire serré auquel on le soumet. Il n’a pas
réagi à la lecture de ses droits. Joseph ne s’est même pas prévalu de celui
d’appeler un avocat. Il reste là, sans réagir, comme s’il ne prenait pas
conscience de ce qui se passait et du drame qui s’est joué.
Les enquêteurs en sont déjà à l’ébauche des accusations possibles que l’on
s’apprête à déposer contre lui. Qu’il s’agisse d’un homicide ou d’assistance
à un suicide, les deux sont passibles de poursuites judiciaires. Bien sûr,
les choses seraient différentes dans le cas d’un suicide comme tel, mais
tout porte à croire que Joseph Barjaulet a joué un rôle dans la mort de son
père. Son obstination à rester muet ne permet pas pour l’instant aux
policiers de se faire un portrait juste de la situation. Les analyses et
expertises effectuées sur la scène de crime devraient les éclairer sous peu.
Entretemps, il est à prévoir que le juge ou un procureur commis d’office
demandera à ce que Joseph soit soumis à des examens psychiatriques pour
déterminer s’il était sain d’esprit au moment du drame et si des accusations
peuvent bel et bien être portées contre lui. Au moment présent, on ne peut
que spéculer sur le sort qui attend le cadet de la famille. Celui-ci semble
pour l’instant être frappé du même mal qui a affligé son père ses dernières
années. Il reste muet, tout béat devant une situation qui semble totalement
le dépasser. Tout au long de l’enquête, nul ne réussira à lui tirer un mot
de la bouche. Ce n’est sûrement pas la meilleure attitude à adopter quand on
est le témoin principal d’une enquête policière. Quoi qu’il en soit, il en
est ainsi. Il n’y a rien à tirer de Joseph. Nul ne saurait expliquer sa
prise de position. Il est bien évident que son mutisme est volontaire, car
Joseph refuse toute forme de communication. Il ne répond pas plus aux
questions qu’on lui soumet par écrit.
De plus, il n’y a pas grand monde qui peut intervenir auprès de Joseph pour
le faire changer d’idée. Il est maintenant orphelin et n’a que deux sœurs,
dont l’une n’est plus dans les parages depuis un certain nombre d’années.
Les policiers ont néanmoins espéré que sa sœur aînée pourrait avoir une
influence positive sur lui. Même face à Colombe, Joseph reste sur ses
positions. Sans plus dire mot, il lui signifie tout de même que ce qui s’est
passé reste entre lui et son père. On dirait bien que le cadet de la famille
a encore fait le choix de vivre avec un autre terrible secret. Les
événements ne l’auront donc soulagé de rien. Pourtant Joseph en sort moins
accablé comme s’il y avait néanmoins trouvé un certain allègement.
L’enquête révélera qu’Adrien Barjaulet s’est lui-même flingué avec l’arme
retrouvée près de lui dans le séchoir à tabac. Confronté au fait de ne pas
avoir plus de détails ou de concret et compte tenu de la probabilité que
Joseph s’en tire de toute façon pour cause d’aliénation mentale, du moins
passagère, le procureur de la couronne prit la décision de ne pas déposer
d’accusation contre Joseph Barjaulet. À quel point a-t-il contribué au
suicide de son père ? Il est le seul à pouvoir répondre à cette question et
il ne semble toujours pas vouloir le faire.
En fait, Joseph ne sait plus quelle attitude adopter face à lui-même. Ses
propres états d’âme restent mitigés vis-à-vis tout cela. Lui-même a du mal à
définir le rôle qu’il a joué là-dedans. Par contre, le jeune homme ne perd
pas de vue qu’elles étaient ses motivations premières. Il ne peut se nier où
il voulait de toute façon en venir. Si l'on dit que ce sont les intentions
qui comptent, Joseph a de quoi se sentir coupable le reste de ses jours.
Mais n’est-ce pas de cela qu’il a voulu se débarrasser ? Néanmoins, Joseph
est pleinement conscient de ce qu’il s’apprêtait à faire alors qu’il revoit
la scène. Il visualise encore le tout. Il reste d’ailleurs éberlué d’avoir
vu son père debout à côté de son fauteuil roulant. Il n’en revient pas
encore que celui-ci se soit adressé à lui de vive voix alors qu’il n’avait
plus parlé depuis tant d’années. Ses sentiments restent mitigés face à la
scène. Rage amplifiée ? Stupéfaction ? Quoi qu’il en soit, les paroles de
son père lui résonnent encore dans la tête. Joseph les entend encore bien
clairement. Elles lui sont gravées à jamais en mémoire. Il y a de ces mots
que l’on n’oublie jamais et qui nous hantent à perpétuité. Toute sa vie
Joseph se souviendra des dernières paroles d’Adrien.
« Tue-moi… mais pas toi… »
« Tue-moi… Délivre-moi… Délivre-toi… et vis ta vie… »
« Joe… Pardonne-moi pour cette chienne de vie… »
Joseph se revoit poser le regard sur l’arme que son père lui pointait. Celle
qu’il a lui-même amenée dans le séchoir à tabac. Il se revoit prendre
froidement l’arme et regarder son père droit dans les yeux. Joseph tend
l’arme à son père. Il doit s’avouer soulagé de la tournure des événements.
Par contre, il n’est pas question que son père le manipule encore; ni même
ne lui dise quoi faire. Joe a maintenant la conviction que la fin est
inéluctable. Si son père a des remords, qu’il s’en libère lui-même; chacun
son calvaire.
Adrien aussi en est rendu à ce point de non-retour. L’homme saisit l’arme
que lui tend son fils. Il la prend et accote le canon sous son menton et
appuie aussitôt sur la gâchette. Mais ça, jamais Joseph ne le racontera à
personne. Cela restera à tout jamais entre son père et lui.
La détonation a été brutale. Joseph a cru un instant qu’il en resterait
sourd. Bien qu’il ait retrouvé l’ouïe, le fils n’oubliera jamais les
derniers instants de son père. Il se souvient aussi qu’il s’apprêtait à le
supprimer lui-même, puis à s’enlever la vie. Cette vie qui lui était devenue
infernale. Ce n’était plus vivable et il avait décidé de tirer un trait sur
tout ça. Et en ce sens, Joe ne se sent pas moins coupable parce que son père
a lui-même posé le geste. Coupable ou pas, le fils assumait pleinement le
dénouement anticipé, dès qu’il avait sciemment pris la décision de tout
mettre en branle. Adrien, qui lui aura volontairement fait vivre l’enfer ces
dernières années, lui aura accordé en fin de compte la libération tant
attendue. Mais que fera Joseph de cette vie qu’on lui offre enfin ?
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SUIVI MÉDIAS ET INTERNET
La Barjot, Tome 2 - La malédiction, Claude Lemay,
roman, Fondation
littéraire Fleur de Lys
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AU SUJET DE L'AUTEUR
Claude
Lemay
Claude
Lemay écrit depuis toujours. Dès l’âge du primaire, il s’amuse déjà
à aligner des mots pour pondre ses premiers romans. Claude Lemay,
c’est aussi un touche-à-tout actif et polyvalent comme en témoigne
son cheminement. Bien que diplômé universitaire en marketing, il
alimente aussi son côté manuel et pratique en perfectionnant son
intérêt pour le travail des métaux. À bien des niveaux, il se
considère avant tout comme un autodidacte. Il aime comprendre
comment fonctionnent les choses et comment elles sont faites. Ainsi,
il se passionne aussi pour la soudure et la métallurgie. Il œuvrera
pendant plusieurs années en représentation et assistance technique
en ce domaine. Il tâtera aussi la consultation et la formation. Pour
lui, tout est matière à parfaire sa culture générale et à satisfaire
sa curiosité insatiable. Il en viendra à lancer sa propre entreprise
de distribution de gaz industriels, médicaux, alimentaires et de
produits de soudage.
Pendant tout ce temps, il ne cesse d’écrire. Régulièrement et
périodiquement, il pond un nouveau roman. Au fil de ses écrits, il
touche le roman policier et principalement le roman d’aventures. On
dit que son écriture masculine est empreinte d’une belle sensibilité
et qu’il sait faire ressentir les émotions de ses personnages.
Ceux-ci pouvant être vous et moi. Comment réagirait-on dans telle ou
telle circonstance? Ses derniers écrits portent d'ailleurs sur la
perception des sentiments face aux situations émotives; celles qui
bouleversent une vie.
Cet auteur a toujours joué sur la perspective de sa dualité.
N’est-ce pas le paradoxe humain? Chaque geste, chaque événement,
chaque réaction seront perçus en fonction de son propre cheminement
et selon les circonstances particulières du moment. Le pire des
criminels n’est-il pas aussi la plupart du temps un bon père de
famille ou un individu apprécié de ses pairs dans son domaine
d’activités quotidiennes? Qu’est-ce qui est courageux? Un acte de
bravoure spontané ou le dévouement de toute une vie dans son lot de
banalités quotidiennes? Où se situe l’équilibre entre le modernisme,
le progrès et l’enracinement à ses valeurs profondes? Ce flirt avec
la dualité lui vient sûrement de son cheminement et de son vécu.
Profondément urbain, il adore aussi les grands espaces. Élevé dans
un quartier populaire de l’est de Montréal, il passait néanmoins ses
étés sur une ferme à la campagne. Confronté à la dure réalité de son
quartier populeux, il côtoie aussi l’aisance des écoles privées où
ses parents l’inscrivent pour lui offrir une « bonne éducation ».
L’auteur en vient à croire que c’est en se confrontant à ses
extrêmes que l’on se définit soi-même. Claude Lemay est certes un
homme de convictions, mais pas de conventions. Il ne croit pas qu’il
faille suivre inexorablement les chemins tracés. Il faut aussi
savoir en inventer.
Bon nombre d’auteurs ont tenté de comprendre l’humain. On aimerait
tous y parvenir dans notre quotidien alors que notre propre
cheminement et l’actualité omniprésente nous présentent les facettes
les plus fascinantes, mais aussi les plus bouleversantes de la
nature humaine. Après deux romans publiés à compte d’auteur « La
force du passé » et « Désespoir en terre d’accueil/Appel au 911 »,
l’auteur s’applique ici à décrire un pan de vie de personnages à
tout le moins fort caractériels; de ceux qui par leur côté scabreux
alimentent le folklore et l’imaginaire de tout un coin de pays. Le
type de personne dont on se plaît à parler et qui suscite les
tergiversations de toute une communauté. Une fois qu’on en a tout
dit, qu’en reste-t-il? Un lourd héritage qu’auront à porter les
générations suivantes. C’est ce que Claude Lemay s’est appliqué à
décrire dans la présente trilogie. Il vous invite donc à suivre les
Barjaulet dès leur arrivée dans le petit village de
Saint-Rédempteur. Dès lors, on ne tardera pas à parler de
malédiction. Et quand sera-t-il de la destinée des générations
suivantes? C’est à lire…
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DU MÊME AUTEUR - TOUS LES TITRES DE CET AUTEUR
Claude
Lemay
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La
force du passé
CLAUDE LEMAY
Roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2009, 184 pages.
ISBN 978-2-89612-273-8
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.1.htm
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|
Désespoir en terre
d’accueil (Appel au 9-1-1)
CLAUDE LEMAY
Roman (inspiré d’un fait vécu),
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Laval, Québec, 2010, 124 pages.
ISBN 978-2-89612-344-5
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.2.htm |
|
La Barjot
Tome 1 - L'arrivée à Saint-Rédempteur
(Lanaudière, Qc)
-
CLAUDE LEMAY
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2012, 190 pages
ISBN 978-2-89612-398-8
-
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.3.htm
|
|
La Barjot
Tome 2 - La malédiction
-
CLAUDE LEMAY
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2012, 222 pages
ISBN 978-2-89612-421-3
-
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.4.htm
|
|
La Barjot
Tome 3 - La destinée
-
CLAUDE LEMAY
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2013, 822 pages
ISBN 978-2-89612-433-6
-
http://manuscritdepot.com/a.claude-lemay.5.htm
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Claude
Lemay
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de répondre personnellement à vos courriels.
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